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  1. Wassila Ben Ammar Bourguiba ( Arabic: وسيلة بن عمار; April 22, 1912 – June 22, 1999) was the second wife of the former Tunisian president Habib Bourguiba and the First Lady of Tunisia from 1962 until 1986. She was called Majda (venerable). [1] Biography. Family, youth and marriage.

  2. Wassila Bourguiba ( arabe : وسيلة بورقيبة ), née Wassila Ben Ammar le 22 avril 1912 à Béja et morte le 22 juin 1999 à La Marsa, est la deuxième épouse du président tunisien Habib Bourguiba et la Première dame de ce pays de 1962 à 1986. Elle est alors connue sous le titre de Majda ( الماجدة soit « Vénérable ») 1 . Biographie.

  3. 10 de dic. de 2020 · Wassila Ben Ammar : Une Tunisienne en politique. Compte rendu de Noureddine Dougui, Wassila Bourguiba, la main invisible, Tunis, Sud Editions, 2020, 346 p. La lecture de l’ouvrage Wassila Bourguiba, la main invisible de Noureddine Dougui est à la fois engageante et utile aux chercheurs, aux historiens et au-delà.

  4. Il avait, par exemple, marginalisé une personnalité aussi éminente que Tahar Ben Ammar (aucun lien de parenté avec Wassila), le premier chef du gouvernement de l’autonomie interne, qui, en ...

  5. www.leaders.com.tn › article › 9939-wassila-bourguibaWassila Bourguiba - Leaders

    25 de nov. de 2012 · Wassila Bourguiba. Amie de longue date de Wassila Ben Ammar, Jacqueline Gaspar a réalisé dans les années 72-73, une série d'entretiens avec l'ex première dame de Tunisie. Elle vient de les publier chez Demeter, dans un livre sous le titre "Wassila Bourguiba-Entretiens à Carthage 72-73".

  6. Les biographes préciseront le tableau en racontant les orages du ménage quand Wassila Ben Ammar entrera dans la vie de Bourguiba, à partir de 1943. 34 Le « coup de foudre » 12 pour Wassila, dernier événement privé saillant, a transcendé la simple histoire d’amour.

  7. La première, qui donne la liste des sites comprenant l’occurrence Wassila Ben Ammar, épouse Bourguiba, présente un personnage historique, haut en couleur, ayant joué un rôle majeur et généralement positif dans l’histoire de son pays, non sans manipuler finement son « Combattant suprême » de mari.