Yahoo Search Búsqueda en la Web

Resultado de búsqueda

  1. La bibliothèque municipale de Dijon occupe les bâtiments de l'ancien collège des jésuites, aussi appelé collège des Godrans du nom de son fondateur, Odinet Godran, président du Parlement de Bourgogne. Le collège devint royal en 1764 après l'expulsion des Jésuites du royaume de France.

  2. La bibliothèque municipale de Dijon occupe les bâtiments de l'ancien collège des jésuites, aussi appelé collège des Godrans du nom de son fondateur, Odinet Godran, président du Parlement de Bourgogne. Le collège devint royal en 1764 après l'expulsion des Jésuites du royaume de France.

  3. archivesmunicipalesdijon.files.wordpress.com › 2019 › 05Le Collège Godran

    Le Collège des Godrans est fondé en 1581, conformément à l'exécution testamentaire d'Odinet Godran, Président au Parlement. Les jésuites et la ville de Dijon sont désignés conjointement comme ces héritiers officiels. Ainsi, l'ancien hôtel particulier du Président Godran est transformé, selon les souhaits de ce dernier, en un lieu d ...

  4. Historique. Au XVIe siècle cet hôtel particulier aurait appartenu à Jacques Godran (deuxième président du Parlement de Dijon en 1537 ). C'est le fils de Jacques Godran; Odinet Godran (président du parlement de Bourgogne) qui fonde en 1580 le Collège des Godrans.

  5. Les documents sont en général librement communicables. Néanmoins, certains documents sont soumis à des restrictions d'accès en raison des informations qu'ils contiennent. Cette rubrique vous présente les délais de communicabilité, l'application @docs et la procédure à suivre pour obtenir une dérogation à ces restrictions.

  6. La bibliothèque municipale de Dijon occupe les bâtiments de l'ancien collège des jésuites, aussi appelé collège des Godrans du nom de son fondateur, Odinet Godran président du Parlement de Bourgogne. Le collège devint royal en 1764 après l'expulsion des Jésuites du royaume de France. Jusqu'à la Révolution, il fut administré

  7. 16 de jun. de 2015 · Vers 1450, Odinet Godran et son épouse Marguerite Salemond font construire leur hôtel particulier (actuel hôtel des Godrans) qui s’étendait alors jusqu’à l’actuelle rue de la Liberté. De nos jours, il n’en subsiste que quelques parties, comme cette tourelle aux fenêtres en accolade (visible au 1 de la place François-Rude) et le passage voûté d’ogives qui se trouve derrière.