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  1. Alfred Victor de Vigny (1797-1863) was born in Loches (a town to which he never returned) into an aristocratic family. His father was an aged veteran of the Seven Years' War who died before Vigny's 20th birthday; his mother, twenty years younger, was a strong-willed woman who was inspired by Rousseau and took responsibility herself for Vigny's early education.

  2. Alfred de Vigny. The book is a historical novel that delves into the life and tragic fate of Thomas Chatterton, an 18th-century English poet who was posthumously recognized for his talent. The narrative explores themes of artistic integrity, the struggle for recognition, and the impact of societal neglect on creative genius.

  3. Chatterton/Acte III. Œuvres complètes de Alfred de Vigny , Texte établi par Fernand Baldensperger, Conard , 1927 , Théâtre, II ( p. 303 - 346 ). Acte II. Sur les représentations….

  4. Chatterton Vigny C’est dans une certaine urgence qu’Alfred de Vigny composa Chatterton en 1834, afin de fournir un grand rôle à son amante, l’actrice Marie Dorval. Cette hâte explique en partie pourquoi l’auteur adapte alors un récit qu’il a déjà publié dans Stello (1832) : la mort du poète anglais Chatterton, qui s’est effectivement suicidé à 18 ans, en 1770.

  5. Chatterton est un drame romantique (genre initié par Victor Hugo en 1830 avec Hernani) en trois actes écrit par Alfred de Vigny. Ecrite, selon la légende, en 17 nuits, la pièce est jouée pour la première fois au Théâtre français le 12 février 1835, avec Marie Dorval, la maitresse d’Alfred de Vigny, dans le premier rôle féminin.

  6. Chatterton est une pièce de théâtre en prose et en trois actes, écrite par Alfred de Vigny. Elle a été représentée pour la première fois au Théâtre français le 12 février 1835 avec Marie Dorval, la maîtresse de Vigny, dans le premier rôle féminin, écrit pour elle. La comédienne jouera la pièce dans de nombreuses villes de France, contribuant ainsi à la diffusion du drame.

  7. CHATTERTON. DE M. ALFRED DE VIGNY. Dieu merci, je ne suis pas de ceux qui placent dans l’érudition la loi suprême de la poésie ; il ne m’arrivera jamais de contrôler, au nom d’une chronique oubliée, la libre fantaisie d’un inventeur : pourvu que la beauté humaine, la beauté de tous les temps, domine et supplée la beauté ...